22 km jusqu'au prochain relais, une fois de plus... une monotonie qui pourrait en déconcerter plus d'un. Douceur de la transe pélerinistique pour moi. Le gardien habite à 2 km de piste sableuse des quatre murs du poste-relais. Evidemment je suis invité. Mais cette piste effraie ma carrossa. On restera contre le mur pour la nuit. Echange de quelques mots avec ce jeune qui toussote, il me parle en espagnol. Me dit que nous sommes pareils, pas d'argent mais la "libertad". Je repense à Simo. Le riche est celui qui n'a besoin de rien, pas celui qui a tout...

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